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Le corps parlant : savoirs et représentation des passions au XVIIe siècle/ Lucie Desjardins

By: Material type: TextTextSeries: Les Collections de la République des lettres. ÉtudesPublisher: Sainte-Foy, Québec : Paris : Presses de l'Université Laval ; L Harmattan, 2001Description: 320 pàgines : il·lustracions en blanc i negre ; 23 cmContent type:
  • text
Media type:
  • sense mediació
Carrier type:
  • volum
ISBN:
  • 2747509516
  • 2763778194
Subject(s): Summary: ""Au XVIIe siècle, le corps parle : il révèle dans la plus parfaite transparence ce qu'on appelle alors les «passions de l'âme». La rougeur ou la pâleur du visage, le battement des paupières ou l'élévation du sourcil, la plus ou moins grande ouverture de la bouche, le ton de la voix, le geste, la posture ou la démarche, chaque mouvement du corps devient signe d'une passion particulière et, de ce fait, objet d'un savoir que l'on cherche à codifier. Si ce savoir se déploie dans les traités de médecine et dans les «traités des passions», il investit également de nombreux textes dont le principal objet est autre, qu'il s'agisse de la peinture, du théâtre ou du roman, de l'éloquence, de la musique ou du chant, de la danse ou encore de la vie de cour. De Descartes à Bernard Lamy, de Félibien au cardinal de Retz, de Marin Mersenne à Racine, ce savoir sur les pouvoirs du corps expressif traverse tout l'âge classique et devient le lieu d'une profonde inquiétude épistémologique où se forge peu à peu une conscience neuve du moi." -- contracoberta

Presentat originalment com a tesi doctoral de l'autor (Université du Québec, 1998) amb el títol: Le théâtre du corps

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""Au XVIIe siècle, le corps parle : il révèle dans la plus parfaite transparence ce qu'on appelle alors les «passions de l'âme». La rougeur ou la pâleur du visage, le battement des paupières ou l'élévation du sourcil, la plus ou moins grande ouverture de la bouche, le ton de la voix, le geste, la posture ou la démarche, chaque mouvement du corps devient signe d'une passion particulière et, de ce fait, objet d'un savoir que l'on cherche à codifier. Si ce savoir se déploie dans les traités de médecine et dans les «traités des passions», il investit également de nombreux textes dont le principal objet est autre, qu'il s'agisse de la peinture, du théâtre ou du roman, de l'éloquence, de la musique ou du chant, de la danse ou encore de la vie de cour. De Descartes à Bernard Lamy, de Félibien au cardinal de Retz, de Marin Mersenne à Racine, ce savoir sur les pouvoirs du corps expressif traverse tout l'âge classique et devient le lieu d'une profonde inquiétude épistémologique où se forge peu à peu une conscience neuve du moi." -- contracoberta

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