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245 0 2 _aL'Enseignement de la danse et après! /
_b
_cedité sous la direction de Ciro Giordano Bruni
260 _aSammeron :
_bGerms,
_ccop. 1998
300 _a251 p. :
_bil.;
_c22 cm.
490 1 _aEtudes et Recherches V
500 _a"Contient les actes des rencontres organisées de 1994 à 1997 par les Universités Paris V et Paris VIII. - GERMS = Groupe d'étude et de recherche des médias spontanéistes" -- BNF
504 _aBibliografia. Índex
508 _aTextes de: Mireille Arguel, Ciro Bruni, Elisabeth Cornet, François Duroux, Jacques Gaillard, Mary Ganne, Jean-Pierre Klein, Betty Lefevre, Benoît Lesege, Gil Mons
520 _a"ENSEIGNER LA DANSE ? ENSEIGNER QUOI, COMMENT, A QUI, ET POUR QUOI ? QUI PEUT DIRE " JE DANSE ", ET SURTOUT QUI PEUT S'ARROGER LE DROIT D'EN JUGER ET DE RÉPONDRE ÉVENTUELLEMENT " NON TU NE DANSES PAS " ? Pour un tel débat, il faut certes s'armer de patience et affronter sereinement les multiples paradoxes de la danse. Aventure humaine, ontologique, spirituelle aussi, souligne-t-on très justement ...Peut-on initier des élèves à cette expérience ? Comment les exposer à la dialectique Dionysos-Apollon ou les conduire sur le chemin qui relie l'ange et la bête dont parle J.P. KLEIN ? L'élève attend des certitudes et tous attestent que la danse est à la frange du trouble, de l'incertain. On peut bien sûr définir des zones stables telles que les bases de certaines techniques, des dates d'événements historiques, quelques notions biomécaniques ou encore les rudiments de la notation musicale. On peut enseigner la règle, - une règle -, mais où sera l'ivresse ? Complication supplémentaire, le politique se profile en arrière-plan du débat, en particulier dans sa législation qui, quoi qu'on en dise, risque de définir une orthodoxie, ne serait-ce qu'en privilégiant la parole de certains. Et pourtant il faut bien apprendre d'une manière ou d'une autre. Comment diable avons-nous fait ? Pourrions-nous nous interroger personnellement pour saisir comment et avec qui nous avons été introduits aux expériences de la danse ? Quelle fut la part de la technique de la scène éventuellement, l'incidence d'expériences parallèles (je pense au débat sur la kinésiologie), quel temps il nous a fallu pour nous vivre comme danseur, et ce que cela signifie ? Gageons qu'un débat ainsi centré sur l'expérience et le parcours vécu résoudrait certaines tensions et permettrait un tri dans les idées qui risquent parfois l'hypertrophie. Les réflexions et débats ici présentés n'en sont pas moins indispensables, tant il est vrai que l'esthétique de la danse reste à faire, qu'elle est en train de se faire aujourd'hui. Là encore, nous y gagnons une certaine clarté. Ainsi, l'éternel débat entre classique et moderne, éternellement mal posé en termes de technique formelle ou de catégorie socioculturelle, et qui resurgit au cours des débats, pourrait-il être appréhendé autrement ? Cela fait toujours du bien de réfléchir et de se cultiver. Même si c'est parfois douloureux. Benoît LESAGE" -- Contracoberta
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